Un avion à peu près comme les autres. Quitté à 17h, arrivé à 18h. Notre avion sautait de fuseau en fuseau à la poursuite de la lumière du jour. La rotation de la terre a finalement gagné : à notre arrivée, il fait nuit. Le débarquement de l’avion ressemble à une sortie de stade. 500 personnes, ça fait du monde.
Le premier contrôle de sécurité est passé en moins d’une minute. N’ayant aucun bagage à récupérer, je peux sortir de l’aéroport. Mais, ce serait oublier le but de mon passage ici : me faire enregistrer par les autorités d’immigration.
Quelques questions, un tampon une signature et on me remet un document : monsieur, ceci est votre confirmation de résidence permanente, conservez-la à vie!
500 place? A ce volume la c’est a se demander si boutiques, securite, et equippe medicale ne feront pas d’ici peu partir du personnel navigant. Je me demande a present l’impact d’un tel mastodonte sur le developement durable. Hmm.. Let’s wait and see!!
Si tu reste la bas, jusqu’au 7 fevrier, je te depossede du bien precieux qui est à Paris. Je t’avertit.
Il y a tout à bord, boutiques, bars, salon, dortoir… l’A380 est une ville volante.